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une chanson que j'interpréte
qui fait partie de mon spectacle " Vies croisées "LA PASSION DES ARTISTES
Nous vous offrons
Un coin d’espoir
Quelques étoiles
Un arc-en-ciel
Une chansonNous partageons
Nos répertoires
Une grand-voileVers le soleil
Et des frissons
Par Passion nous les Artistes
Magiciens et danseursChanteurs et humoristes
Déposons notre cœur
Devant vousDevant nous
Devant vous
Devant nous
Nous vous offrons
Un grand panier
Plein de paillettes
En tourbillons
Nous partageonsSous les lumières
De cette fête
Notre affectionPar passion nous les Artistes
Magiciens et danseursChanteurs et humoristes
Apportons du bonheur
Devant vousDevant nous
Devant vous
Devant nous
Par passion nous les Artistes
Magiciens et danseursChanteurs et humoristes
Déposons notre cœur
Devant vousDevant nous
Devant vous
Devant nous
Par passion nous les Artistes
Magiciens et danseursChanteurs et humoristes
Apportons du bonheurDevant vous
Devant nous
Devant vous
Devant nous
Devant vous
Devant nous
Devant vous
Devant nous
… … …
musique Michel VERON, alias MINOREVparoles Marie-Noëlle et Bernard PICHARDIE
chanson déposée à la SACEM
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NENUPHARS OU PARAPLUIES
Gémit le vent, frémit la pluie,
Mais que font donc ces parapluies
Ces petits coins de paradis
Qui mènent leur danse folle ?
Ils se croisent et s’entrechoquent
Sur les trottoirs nappés de flaques
Pourtant personne ne se moque
Si en chemin ils batifolent
Ils sortent de leurs placards
S’aèrent par mauvais temps
Colorés ou transparents
Ils ont chassé leur cafard
Qu’ils soient grands, moyens ou mini,
Ils ressemblent à des toupies
Tout dépend de la fantaisie
De ceux qu’ils doivent protéger
Des bourrasques et trombes d’eau
Du déluge sous le halo
De cette voute en chapiteau
Que m’sieur Eol’ fait vaciller
Ils sortent de leurs placards
S’aèrent par mauvais temps
Le ciel gris comme un étang
Seraient-ce des nénuphars ?
Ils sortent de leurs placards
S’aèrent par mauvais temps
Colorés ou transparents
Ils ont chassé leur cafard
Si quelques baleines s’échappent
Vit’ les proprios les rattrapent
Et les raccrochent à leur cape
Pour éviter qu’ils ne se plissent.
Le vent s’engouffre, les percute,
Et soudain tels des parachutes
Ils s’envolent et ils chahutent
Ne remplissant plus leur office.
Ils sortent de leurs placards
S’aèrent par mauvais temps
Le ciel gris comme un étang
Seraient-ce des nénuphars ?
Mais non, ce sont des parapluies (parlé)
Paroles Marie-Noëlle PICHARDIE alias MARINO L
Musique Michel VERON alias MINOREV
Chanson déclarée à la SACEM
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UNE VIEILLE DAME
Une très vieille dame marche péniblement
Sur un trottoir humide, traînant une valise
Au contenu si lourd qu’elle marque souvent
Des arrêts sans souffler, craignant que l’on ne dise
Sa vie tient à un fil, et quel que soit le temps
Passé sur son parcours, elle semble fragile
Et son regard craintif aborde les passants
Les presse vainement de questions inutiles
Où se dirige t’elle, seule dans le néant
Des êtres égarés, dans la jungle morbide
Des hommes et des femmes, tels des robots vivants
Prisonniers volontaires de ce monde stupide
Quels sont les souvenirs qu’elle garde avec soin ?
Lettres de ses amants ou amours en rupture,
Des instants de bonheur, une vie de chagrin
Des photos de famille, celles que l’on capture.
Où court-elle apeurée, tremblante et en sueur ?
L’ombre d’éternité très calmement s’attarde
A voir la vieille dame chercher une lueur
De vie et de recours : elle fuit la camarde
La vieille dame glisse et tombe inanimée,
Sans dire un au revoir, la mort l’a emportée.
Paroles Marie-Noëlle RINAUDOMusique Alain VIGREUX
Chanson déposée à la SACEM
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un texte à la recherche d’une musique
VENDANGE
Juste après l’orageArrive le beau temps
Le ciel rose et mauve
Redevient tout bleu
Pour les amants sages
Il est encore temps
D’un ébat guimauve
Tout flamme et tout feu
Un petit oiseau
Posé sur sa branche
Sifflote tout haut
Surveillant nos hanches
Cachés dans les vignes
Tu peux m’effeuiller
Faire la vendange
Goûter mes raisins
Ne restons pas dignes
Tu dois m’effleurer
Laisser sous ma frange
La trace de tes mains
Le petit oiseau
Caché par la branche
Ne pipe plus mot
Hésite et se penche
( Pont musical)
Le petit oiseau
Caché par la branche
Ne pipe plus mot
Hésite et se penche
Pour dire je t’aime
Aucune parole
Les gestes suffisent
Pour preuve d’amour
À même la terre
Nos corps qui s’affolent
S’embrasent et s’unissent
Sans autre recours
L’oiseau très discret
Quitte alors sa branche
Gardant le secret
De notre vendange
Cachés dans les vignes
De notre voisin
Nous sommes indignes
Mangeons le raisin
L’oiseau très discret
A quitté sa branche
Gardant le secret
De notre vendange
paroles Marie-Noëlle RINAUDO
texte déposé
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LE HAMAC
Tu entends soudain le silence
Le chant des cigales s’est tu
Sur ton hamac tu te balances
Et sous un voile ton corps nu
L’arrosage automatique
Te rafraîchit de gouttes d’eau
Dans ce paysage idyllique
La nuit se pose sur ta peau
Là sous les étoiles
Loin de notre nid
Il suffit d’un voile
Pour abri.
Le vent te frôle
Tu frissonnes
Tu t’abandonnes
Sous le voile
D’un air frivole
Je m’approche
Je te décroche
Te dévoile
Là sous les étoiles
Cette douce nuit
Nous prend dans sa toile
Pour abri
Nous rompons soudain le silence
Par nos caresses nos baisers
Entremêlés nos corps balancent
Se consumant sans s’apaiser
L’arrosage automatique
Nous rafraîchit de gouttes d’eau
Dans ce paysage idyllique
Nous nous grisons de petits mots
Là sous les étoiles
Loin de notre nid
Il suffit d’un voile
Pour abri
Amour tactile
Douce fièvre
Tu es orfèvre
M’ensorcelles
Désir fébrile
Tu m’emportes
Me transportes
Sur tes ailes
Là sous les étoiles
Cette douce nuit
Nous prend dans sa toile
Pour abri
Là sous les étoiles
Cette douce nuit
Nous prend dans sa toile
Pour abri
Ce sont les étoiles
Notre ciel de lit
Plus besoin de voile
Pour abri
Ce sont les étoiles
Notre ciel de lit
Plus besoin de voile
Pour abri.
Musique Lucien NEBOIT
Chanson extraite du CD : Marino... Ailes Déployées
Enregistré à la SACEM
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MON OASIS
Larmes de feu larmes de sangSans toi je ne suis qu’un volcan
Eteint au milieu des cendres
Noyant ma vie à t’attendre
Tu es partie dans la pénombre
Un triste soir d’été
Ne me laissant que ton ombre
Planant à mes côtés
Et je respir’ ton parfum d’ambre
Arpentant le silence
Je vois partout dans cette chambre
Traces de ta présence
Oasis dans mon désert
Tu étais mon univers
Larmes de feu larmes de sang
Sans toi je ne suis qu’un volcan
Eteint au milieu des cendres
Noyant ma vie à t’attendre
Je savourais ces instants
Où nos lèvres se retrouvent
Je goûtais tes petits seins blancs
Je te picorais toi ma louve
J’entends encor ton rire clair
Exhaler une part de mystère
Je me souviens hier encore
Sur cette plage isolée
Etendus sur le sable d’or
Nos deux corps emmêlés
Nous partions pour une aventure
Celle du paradis des sens
En espérant que cela dure
Ephémère récompense
Oasis dans mon désert
Tu étais mon univers
J’accrocherais aux étoiles
Mille rubans d’arc en ciel
Si tu soulevais le voile
De ton absence si cruelle
J’ouvrirais tout grand mes bras
Pour que tu t’y réfugies
Nous nous blottirions sous les draps
J’oublierais ma nostalgie
Si j’entendais ton rire clair
Mon amour écoute ma prière
Larmes de feu larmes de sang
Sans toi je ne suis qu’un volcan
Eteint au milieu des cendres
Noyant ma vie à t’attendre
J’accrocherais aux étoiles
Mille rubans d’arc en ciel
Si tu soulevais le voile
De ton absence si cruelle
J’ouvrirais tout grand mes bras
Guetterai le bruit de tes pas
Je gouterai tes seins si blancs
Nous nous aimerons très longtemps
Car sans toi je ne suis qu’un volcan
Eteint au milieu des cendres
Noyant ma vie à t’attendre
Noyant ma vie à t’attendre
À t’attendre
Musique PHILOCASTER
Paroles Marie-Noëlle RINAUDO
chanson déposée à la SACEM
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MON MARI, MON AMANT, MON AMI
De l’ami à l’amant
De l’amant au mari
Du mari à l’ami
Je vais de l’un à l’autre
Quand l’amant me délaisse
Je retrouve l’ami
Dans son petit deux-pièces
Si l’ami m’abandonne
À côté du mari
Je ris et je fredonne
Mon mari s’évapore
Voici que mon amant
Me joue du coeur à corps
De l’ami à l’amant
De l’amant au mari
Du mari à l’ami
Je vais de porte en porte
De l’ami à l’amant
De l’amant au mari
Du mari à l’ami
Je vais de l’un à l’autre
Quand l’amant m’indiffère
Je visite l’ami
Et son sourire offert
Si l’ami me remballe
Tout près de mon mari
Je redeviens cigale
Mon mari en voyage
Je poursuis mon amant
Dessous mon ciel de rage
De l’ami à l’amant
De l’amant au mari
Du mari à l’ami
Je vais de porte en porte
musique Laurent PIGEAULT
paroles Bernard PICHARDIEChanson déposée à la SACEM
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ÉGAREMENT
T’as des cafards
Sous ton parquet
Et des fourmis
Dans tes chaussures
Dans tes placards
Des araignées
T’as des soucis
Faut que tu assures
T’as un grand plomb
Dans la caf’tière
Tu es marron
T’en es pas fier
Tu es hagard
T’as plus envie
D’aller tout droit
Oui t’en as marre
Marche au hasard
De tes folies
Et devant toi
Un quai de gare
T’as un grand plomb
Dans la caf’tière
Tu es marron
T’en es pas fier
Tu t’bagarres
Contre l’univers
Fais tes bagages
Change de rail
Tu t’égares
Dans tes colères
Voie de garage
Plus de travail
T’as un grand plomb
Dans la caf’tière
Tu es marron
T’en es pas fier
Tu vas à droite
Ça t’convient pas
Les banlieusards
T’en a pas peur
Maladroite
La gauche s’en va
Vers les boul’vards
Sans risque et heurt
T’as un grand plomb
Dans la caf’tière
Tout est bidon
T’en es pas fier
Paroles : Marie-Noëlle RINAUDO
Texte déposé
10 commentaires -
Amis interprètes,
Certaines chansons que je mets dans la rubrique "MES INTERPRETATIONS", ne me sont pas réservées, et vous pouvez vous y essayer, si elles vous plaisent et que vous souhaitiez les faire vivre sur scène.
Il en est ainsi pour "JE NE PEUX QUE T AIMER", et PRES DE L ONDE"
sachez également que si vous souhaitez interpréter mes chansons, je vous fournirai la maquette instrumentale du compositeur, les arrangements devant être faits par chacun .
Amitiés musicales,
Marino L
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DE QUEL CÔTÉ TU DORS ?
De quel côté tu dorsCôté sud Côté nord
De quel côté tu dors
Quand la nuit se colore
Côté cour côté rueLes murs sont mis à nu
Côté cour Côté rue
Les clameurs se sont tues
Côté bourg côté port
Tu navigues à bâbord
Côté bourg Côté port
Tu joues les sémaphores
De quel côté tu dors
Côté sud Côté nord
De quel côté tu dors
Quand le jour s’évaporeCôté ville côté champ
Tu rêves sous l’auvent
Côté ville Côté champ
Tu soupires en flânant
Côté homme côté femme
En enfer tu te damnes
Côté homme Côté femme
Le feu brûle ton âme
De quel côté tu dors
Côté sud Côté nord
De quel côté tu dors
Quand la nuit se colore
De quel côté tu dors
Côté sud Côté nord
De quel côté tu dors
Quand le jour s’évaporeMais voici que l’amour
Éclabousse l’aurore
Sans tempête Ni tambour
Le long de ton décor
musique Vincent GROSSET
paroles Marie-Noëlle RINAUDO / Bernard PICHARDIE
chanson déposée à la SACEM
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